




Guide de gravure
Ajoutez une gravure à votre lame pour lui offrir une empreinte qui raconte votre histoire.
Idées de gravure :
- Un prénom
- Une date marquante
- Un ou des mots puissants
- Un message personnel
Comment ça marche :
1 - Cochez la case "gravure personnalisée"
2 - Écrivez votre texte dans le champ dédié
Consignes pour votre gravure :
→ Vous pouvez utiliser toutes les lettres, chiffres ou symboles disponibles sur votre clavier - y compris en japonais.
→ Jusqu’à 6 mots maximum pour une gravure nette, précise et impactante.
Nos artisans s'occupent de graver votre lame au laser avec une précision absolue et un soin extrême.
L’art de concevoir le Santoku Ciel de Nara : maîtrise japonaise et acier damas
Ciel de Nara, un nom qui évoque la précision, le geste qui ne dévie pas, la lame qui suit la trajectoire parfaite. Ce Santoku japonais s’inscrit dans cette ligne pure : celle du tranchant et l’équilibre maîtrisé.
Sa lame de 18 cm, en acier damas 67 couches, capte la lumière comme une surface d’eau en mouvement. Son manche, en bois stabilisé et résine bleu ciel, joue sur les contrastes et la profondeur. Un toucher soyeux, une tenue ferme et un éclat sobre.
Plus qu’un simple couteau, ce Santoku promet une expérience. Laissez-vous guider.

1 - Acier Damas 67 couches : précision et endurance

Le cœur de ce Santoku repose sur un super acier inoxydable à haute teneur en carbone, trempé sous vide. Sa dureté, située entre 60 et 61 HRC, assure une tenue du fil remarquable, même après un usage intensif. L'enveloppe en 67 couches de damas forge une lame à la fois souple et résiliente, capable d’encaisser les contraintes sans perdre de son tranchant.
Chaque coupe reste nette, fluide et constante. Vous gagnez en régularité, en vitesse et en plaisir. C’est une lame qui travaille pour vous, pas contre vous.
2 - Manche ovale en bois stabilisé et résine bleue : stabilité et élégance

La forme ovale épouse naturellement la paume, pour une prise en main sécurisante et sans fatigue. Le bois stabilisé offre une densité idéale, renforcée par une résine bleue qui protège de l’humidité tout en apportant une touche de modernité discrète.
Le montage en soie encastrée garantit un équilibre parfait entre la lame et le manche. En main, le couteau devient une extension fluide du geste, sans rupture ni flottement.
3 - Affûtage à 15° par côté : finesse et contrôle

L’affûtage symétrique à 15° par côté révèle un fil d’une extrême finesse. Ce tranchant rasoir permet de détailler les ingrédients sans effort, tout en maintenant un excellent contrôle sur la coupe.
Que vous travailliez des herbes délicates ou des légumes plus fermes, le couteau découpera parfaitement. Il ne glisse pas, il tranche. Avec précision. Toujours.
Un couteau Santoku pensé pour prendre plaisir en cuisine

Ce Santoku japonais excelle dans la découpe de légumes, viandes blanches et poissons. Sa lame large et légèrement incurvée favorise les mouvements de balancier, tandis que son poids de 191 g apporte la juste inertie pour trancher sans forcer. C’est le couteau idéal pour celles et ceux qui recherchent la performance sans complication.
Conseil d'utilisation : Pour tirer le meilleur de son tranchant, adoptez toujours un mouvement de balancier fluide en gardant la pointe de la lame en contact avec la planche, et laissez le poids du couteau faire le travail, sans appuyer.
Gravez votre histoire. Transmettez un héritage.

1 - Un trésor de famille
Ce couteau racontera une histoire : la vôtre. Dans 10 ans, il sera toujours aussi tranchant. Dans 20 ans, il portera les traces du temps, de votre maîtrise, de votre passion. Un véritable héritage, forgé pour être transmis comme un trésor de famille.
2 - Un compagnon pour la vie
Un couteau japonais ne se remplace pas, il se façonne au fil du temps. Là où d’autres finissent émoussés et oubliés, celui-ci reste. Tout est pensé pour durer, comme ces outils d’antan qu’on gardait toute une vie. Tranchant aujourd’hui, inébranlable demain.
3 - Gravé pour ne pas oublier
Certaines choses ne s’effacent jamais. Un prénom. Une date. Un mot qui compte. On ne grave pas une lame par simple envie. On le fait parce que certains souvenirs doivent rester. Parce que certains liens méritent de traverser le temps. Cette gravure, c'est un fragment de votre histoire que vous confiez à l’acier.
NOS GARANTIES DAMASORA
Des réponses à vos questions sur le Santoku
Qu'est-ce qu'un couteau Santoku ?
Qu'est-ce qu'un couteau Santoku ?
Le Santoku, c’est l’âme du couteau japonais. Son nom signifie “trois vertus” : trancher, émincer, hacher - les trois gestes essentiels de toute cuisine vivante. Court et maniable, précis, il prolonge naturellement la main du cuisinier. Sa lame légèrement galbée et parfois alvéolée, invite à une coupe nette et précise. C’est un couteau d’intention qui s'adapte parfaitement à votre rythme.
À quoi sert un couteau Santoku ?
À quoi sert un couteau Santoku ?
Le Santoku est un couteau d’équilibre. Ni trop long, ni trop léger, ni trop spécialisé, il s’adapte avec à presque tout : il entre dans une carotte comme dans du beurre, glisse sous un filet de saumon sans abimer la texture, cisèle l’ail et les herbes fraîches avec la netteté d’un geste sûr. Légumes croquants, viandes tendres, poissons délicats - il sait tout faire, et il le fait bien. C’est le compagnon qu’on attrape sans y penser, parce qu’on sait qu’il fera juste.
Comment utiliser un couteau Santoku ?
Comment utiliser un couteau Santoku ?
Je conseille toujours de tenir la lame avec fermeté mais souplesse, tout en la guidant par le talon du manche. Le Santoku invite au mouvement de bascule, un léger balancier d’avant en arrière, plutôt qu’au hachage brutal. Respectez son rythme naturel, laissez la lame épouser les fibres sans forcer, et vous découvrirez une coupe parfaite, sans résistance.
Comment choisir la taille d'un Santoku ?
Comment choisir la taille d'un Santoku ?
Un Santoku classique mesure entre 16 et 18 cm de lame, une taille idéale pour épouser la main sans l’alourdir. Choisissez votre Santoku comme on choisit un instrument : il doit prolonger votre main, et devenir presque "invisible" dans le geste. Si vous avez de petites mains, un 16 cm sera parfait, sinon, vous pouvez opter pour un du 18 cm.
Comment aiguiser un couteau Santoku ?
Comment aiguiser un couteau Santoku ?
Le Santoku réclame un aiguisage respectueux, à la pierre à eau, grain 1000 pour redonner du mordant, grain 3000 ou plus pour polir la coupe. L'angle d’aiguisage, autour de 15 degrés, doit être conservé avec régularité et patience, telle une respiration profonde. C’est en aiguisant ainsi que vous prolongez non seulement le fil, mais aussi l'âme de votre lame.
Quel est le prix d'un couteau Santoku ?
Quel est le prix d'un couteau Santoku ?
Le prix d’un Santoku varie selon son essence. Un modèle industriel de qualité débute autour de 80 à 120 euros. Les pièces artisanales, forgées avec soin par des couteliers expérimentés, se situent généralement entre 120 et 300 euros. Un Santoku d'exception, réalisé à la main par un artisan de renommée mondiale, peut atteindre 400, 500 euros, voire davantage.
Santoku ou Nakiri : lequel choisir ?
Santoku ou Nakiri : lequel choisir ?
Le Nakiri est l'orfèvre des légumes : lame droite, fine, taillée pour trancher net sans jamais écraser. Le Santoku, plus polyvalent, embrasse à la fois les légumes, les viandes et les poissons. Si votre coeur bat pour le végétal, optez pour un Nakiri. Si vous recherchez un couteau plus polyvalent, le Santoku est un meilleur choix.
Santoku ou couteau de Chef : lequel choisir ?
Santoku ou couteau de Chef : lequel choisir ?
Le couteau de chef, plus long et bombé, est taillé pour la puissance, les découpes de grandes pièces et les gestes amples. Le Santoku privilégie la justesse, la précision, et s'exprime pleinement sur les légumes, les viandes tendres et les découpes fines. Là où le couteau de chef impose sa force, le Santoku épouse la matière avec plus de finesse. Le choix entre les deux dépendra donc de votre style en cuisine : puissance et polyvalence avec le couteau de chef, ou précision et délicatesse avec le Santoku.